SERGE

Favicon SERGE

La vie est un theatre

RSS posts

Comentează

Le clown de théâtre, qu’est-ce que c’est ?

clownL’apparition du clown se généralise dans la seconde moitié du XIXè siècle. Le premier maquillage sera repris et réinventé au fil des siècles par une succession d’amuseurs, dont Joseph Grimaldi qui en fera un symbole au début du XIXè siècle : maquillé en blanc, il annonce le clown moderne. 

Etymologiquement, le mot “Clown” signifie “rustaud” en anglais. Dans les pièces de théâtre élisabéthain, le clown était un personnage gaffeur, balourd, ridicule, mais en même temps, doué d’un rude bon sens et d’un audacieux cynisme. A l’origine, le rôle du clown était d’amuser entre deux numéros violents ou dangereux. En prenant de l’importance, les clowns ont donné une connotation nouvelle au spectacle. A la fin du XIXè siècle, les clowns parleurs surpassent les clowns écuyers ou acrobates, et l’on voit apparaître des duos comiques dont le premier est celui de Foottit et Chocolat. La tradition fut entretenue par Antonet et Béby, Pipo et Rhum, Dario et Bario, Alex et Porto, etc.Vers 1922, les frères Fratellini, deviennent célèbres avec leurs numéros de clowns musicaux. Paul, Albert et François étaient aussi admirables musiciens qu’excellents danseurs et acrobates. Souvent accompagnés de comparses, ces acteurs sont appelés “pitres” et “contrepitres”. Des clowns célèbres : l’Anglais Foottit, le russe Popov, le suisse Grock, les frères Fratellini.

Source:  http://www.cirque-autour.com/

Le mythe de Pygmalion et Galatée

 GalatéeL’île de Chypre était particulièrement renommée par ses courtisanes. Le sculpteur Pygmalion qui y habitait fut si choqué de l’effronterie des femmes de ce pays, qu’il résolut de vivre dans le célibat.

Mais comme son imagination rêvait toujours une beauté d’un caractère différent, il fit une statue d’ivoire, représentant une femme qui joignait la chasteté de l’expression à la pureté des formes.

L’image qu’il avait fabriquée était tellement à son goût, qu’il en devint amoureux; malheureusement la vie manquait à cette beauté pudique, et si Pygmalion regardait les femmes vivantes, il y trouvait bien la beauté, mais alors la, pudeur manquait. Quand arriva le jour de la fête de Vénus, ce jour qu’on célèbre avec tant de magnificence dans l’île de Chypre, Pygmalion se rendit au temple de la déesse, qu’il trouva tout parfumé de l’encens qu’on y brûlait, et entouré de génisses blanches dont on avait doré les cornes avant de les immoler. « Grande déesse, s’écria-t-il, en embrassant l’autel, fais que je devienne ,l’époux d’une femme aussi accomplie que ma statue !

Il paraît qu’il n’était pas au pouvoir de la déesse de trouver dans Chypre une femme pourvue de la chaste beauté que l’artiste rêvait, car Vénus, pour l’exaucer, préféra avoir recours au miracle. En effet, quand le sculpteur fut de retour, il alla embrasser sa statue, et vit ses joues rougir quand elle se sentit embrasser : l’ivoire s’amollit et la statue s’anima. Pygmalion, ravi, remercia la déesse, qui voulut assister en personne à son hymen.

La statue animée par Pygmalion, étant devenue sa femme, lui donna un fils qui fut le fondateur de Paphos, ville. de Chypre, célèbre par le culte qu’on y rendait à Vénus

Source: http://leslegendesduhobbit.free.fr

O Sole Mio (Mon soleil)

‘O Sole Mio (en français: « Mon soleil ») est le titre d’une célèbre chanson napolitaine, publiée en 1898 et mondialement connue. Les paroles sont du poète napolitain Giovanni Capurro et la musique du chanteur napolitain Eduardo Di Capua.

Paroles en napolitain Che bella cosa e’ na jurnata ‘e sole n’aria serena doppo na tempesta ! Pe’ ll’aria fresca pare già na festa Che bella cosa e’ na jurnata ‘e sole Ma n’atu sole, cchiù bello, oje ne’ ‘O sole mio sta ‘nfronte a te ! ‘O sole, ‘o sole mio sta ‘nfronte a te ! sta ‘nfronte a te ! Quanno fa notte e ‘o sole se ne scenne, me vene quase ‘na malincunia; sotto ‘a fenesta toia restarria quanno fa notte e ‘o sole se ne scenne. Ma n’atu sole, cchiù bello, oje ne’ ‘O sole mio sta ‘nfronte a te! ‘O sole, ‘o sole mio sta ‘nfronte a te ! sta ‘nfronte a te ! Version française en vers et adaptée à la mélodie La belle chose qu’un soleil d’aurore, Jetant au loin l’éveil de sa lumière ! Un frisson passe sur la Terre entière, La belle chose qu’un soleil d’aurore ! Mais sur mon rêve, Plus radieux, Un soleil règne Que j’aime mieux : Sa flamme est sur ta lèvre, Et sa clarté Brille en tes yeux ! La belle chose qu’un soleil en flammes, Par les midis d’été brûlant la plaine ! Des senteurs chaudes soufflent leur haleine, La belle chose qu’un soleil en flammes ! Mais sur mon rêve, Plus radieux, Un soleil règne Que j’aime mieux : Sa flamme est sur ta lèvre, Et sa clarté Brille en tes yeux !
Sonate au clair de lune de Ludwig van Beethoven

La Sonate pour piano no 14 en do dièse mineur, opus 27 no 2 dite « Sonate au clair de lune », de Ludwig van Beethoven, fut composée en 1801 et publiée en 1802 avec une dédicace à la comtesse Giulietta Guicciardi, jeune femme de dix-sept ans dont le musicien semble avoir été amoureux. Comme sa jumelle la Sonate pour piano no 13, Beethoven l’intitula « Sonata quasi una fantasia » pour traduire sa volonté de s’affranchir du moule de la sonate classique.

Sonate au clair de lune comprend trois mouvements et son exécution dure un peu moins de quinze minutes :

Adagio sostenuto, 60 mesures Allegretto, 69 mesures Presto agitato, 200 mesures
Vampires : origine, littérature, réalité

Intro : Le vampire est de nos jours considéré comme un monstre très élégant à cause des livres et des films. Mais en réalité, c’est plutôt une légende puisqu’on le retrouve dans la mythologie, il ya des siècles de cela. Posons-nous cette quesion : Qu’est-ce réellement qu’un vampire ? Le cinéma nous en a déjà donné une bref description souvent altérée : ses points forts et faibles. En fait, « c’est un mort-vivant qui se nourrit de sang pour assurer son immortalité ».

Les origines : Le vampire est relaté dans beaucoup de mythologies antiques. Elles disent que d’infâmes créatures aiment boire du sang humain. On trouve une grande quantité de legendes sur les vampires dans le monde entier. Dès le XI ème siècle, on raconte que des morts quitte leur tombe et attaquent divers individus. Du fait que le sang est la vie en quelques sortes, au XIV siècle, l’expression vampirisme se répend en Europe. Au XVII ème siècle, les superstitions se répandent dans le monde entier. C’est au XVIII ème siècle que va se produire ce qu’on appelle de nos jours « l’épidémie vampirique ». Tous les journaux en parlent en Europe. Des chasses vont être organisées. Au siècle des lumières, des superstitions vont faire peur aux gens. Beaucoup d’articles sont parus ce qui entraine un gran émoi. Les pays touchés doivent faire des enquêtes complètes et des phénomènes seront inexpliquables. L’existence du vampirisme va être officialisée. Le vampirisme devient un sujet à la mode dans les salons de l’époque et avec beaucoup de sérieux. Certains auteur très connu comme Voltaire et Rousseau en parlent. Le terme vampire est reconnu en 1732. Le vampire est un mort qui ne s’altère pas. Il est parfois changé de position dans sa tombe et il sort parfois du sang de sa bouche. Cependant il n’a pas de grandes dents, il suce le sang de ses victimes. Certaines légende parlent de pieu, etc… afin de le tuer définitivement et parfois pour qu’il n’y est pas contagion. On parle de contagion car tout ceci c’est produit pendant la peste,… A la fin du XVIII ème siècle, l’importance du vampirisme du fait du rationnalisme du siècle des lumières. Quelques discussions apparaîtrons sur le vampirisme au siècle suivant, mais sans grande importance.

Le vampire en littérature : Certains poêtes du XIX ème siècle écrivent des poèmes ou ils parlent de morts quittant leur cercueil pour rejoindre leur bien-aimée. Le vampire littéraire est vu comme ayant la faculté de séduire et attirant, c’est à dire le contraire de ce qu’il est pour les gens. La femme vampire, elle est vue comme une beauté fatale. Le premier vrai roman est « Le vampyre » de Dr John William Polidori datant de 1819. Le théâtre parle du vampire. C’est A. Dumas qui essaiera mais sans grand succès. C’est lorque Dracula (Bram Stoker) arrivera que le vampirisme prendra de l’ampleur en littérature. Tout y sera copié avec des nuances. Le vampire deviendra nocturne, polymorphe, craignant l’ail, …. Mais B. Stoker c’est lui inspiré de légendes et histoires non-reconnues. L’originalité réside dans le fait qu’il est parti d’un personnage historique : Vlad Dracula (voir section vampire régulier). « Dracula » est un roman gothique anglais (cryptes et châteaux) mais aussi actuel. (psychiatrie : voir syndrôme Renfield, transfusion sanguine). « Dracula » a eu un grand succès car on y trouve le triomphe du mal. Le livre joue sur les pulsions du lecteur. Par la suite, beaucoup de théâtres ont repris ce roman de « Dracula ». C’est ensuite le cinéma qui s’en ait emparé ainsi que divers auteur. On peut dire que Dracula a connu un franc succès.

La réalité : Le Dr Dolphin pense que le mythe du vampire aurait été inspiré d’une maladie héréditaire du sang, la porphyrie, maladie très rare qui est favorisée par les vases clos génétiques que sont les régions reculées. Cette maladie entraine une photosensibilité de la peau et provoque de bizarres effets chez ceux qui en sont atteints. La personne prend de grands risques en restant au soleil : il provoque une grave atrophie de la peau. On a découvert que l’usage de la saignée est bénéfiques aux malades. Leur dents se déforment également, … Des drogues provoques des crises de porphyrie et l’ail contient cette substance. Certains malades boivent du sang dans des régions reculées. D’où la naissance du vampirisme mais des gens ont très mal réagit à cette théorie. Certains symptômes de la peste peuvent faire penser au vampirisme. Il y a aussi des vampires humains tels ceux qui boivent du sang animal et même humain parfois afin de rester en bonne santé et de rester jeune. (Louis XI, pape Innocent VIII, compte Charolais et comptesse Ersébeth Bathory : voir plus bas). On a aussi dans les années 50, en Angleterre, John Haigh : le vampire de Londres, qui a tué 9 personnes afin de consommer leur sang. La fixation sur le sang est appelé Hématomanie. des spécialistes racontent qu’à peu près 50000 personnes aux Etats-Unis pouraient être « atteint de vampirisme ». Ceci commence pendant l’enfance ou l’adolescence. Beaucoup disent que le sang est besoin, que ça leur provoque du plaisir, force vitale, jeunesse, qualités de l’autres, … (Mais ce sang n’est pas absorbé).

Vampires sanguinaires et psychiques : Vampires sanguinaire: ce sont des gens qui ont besoin très fort, celui de consommer du sang. Il y a deux catégories : ceux qui en ont besoin pour survivre et ceux qui ne peuvent se passer de son goût. – Le vampire sanguinaire volontaire. Il aime le goût du sang des humains. Pour cela, il mord par plaisir sa victime ce qui le fait on pourrait presque dire : « jouir », mais il ne leur prend pas tout leur sang. C’est comme une drogue. – Le syndrôme de Renfield. C’est ce qui pousse le vampire à boire du sang. Cela peut arriver dès l’enfance alors que celui-ci ne sait pas trop ce que c’est, en se coupant par exemple, il va éprouver du plaisir à sucer son sang. On pourrait parler d’auto-vampirisme. Mais certains préfèrent les animaux au tout début : c’est ce qui s’appelle zoophagie. On ne sait pas vraiment pourquoi mais ceux-ci préfèrent les chiens et les chats. Certainement parcequ’ils les aiment… Néanmoins, certains vont aller trop loin : ils vont aller voler dans les hôpitaux du sang ou s’introduire dans des lieux de don de sang. A ce niveau certains vont dérailler et commettre des meutres. Certaines de ces affaires sont répertoriées. – Le vampire régulier. C’est celui que tout le monde connaît grâce aux films. Il passe maintenant pour un monstre. Il a besoin de sang pour survivre. On ne sait pas pourquoi, ni si c’est dans sa tête, ni si s’est son organisme. Son origine peut s’expliquer ainsi. Bram Stoker a crée Vlad Tsepesh Dracula, en se référant à Vlad Dracula surnomé l’Empaleur. C’était un aristocrate noble; il étatait aussi officier. Raymond McNally (historien) a dit qu’il était très sadique. Cela se passe au XVème siècle en Roumanie dans un endroit appellé « La forêt des empalés ». Connu pour ses horreurs, Vlad Dracula avait transpercé près de 30000 hommes à des poteaux. Une mort impitoyable car certains ne mourraient qu’après quelques semaines. Son but était de faire peur au général turc Mohammed II. Lorsque le général a décidé d’en finir avec se tyran, il a vu « La forêt des empalés » et a renoncé. Des rumeurs disent que Dracula prenait plaisir à manger dans cette forêt. Il trempait son pain dans le sang de ses victimes. Le véritable Dracula est loin de l’idée que l’on c’est forgé de lui mais aimait le sang… En transylvanie, les gens croyaient aux vampires et toujours à notre époque. Pour eux c’est un mort-vivant, il est immortel, adore le sang humain, elle peut lire dans les pensées et son image ne se reflète pas dans un miroir. Cependant, il est vulnérable au crucifix, à l’eau bénite, à l’ail; la lumière du soleil l’enflamme; seul un pieu dans le coeur le réduit à néant. Mais ce ne sont que des croyances de ces individus dont on c’est servi dans les films et livres. Pensez en ce que vous voulez. Pour ces gens, il faut exhumer le mort pour savoir si c’était un vampire. Si du sang sortait des lèvres du mort et que le cadavre avait grossi, c’était parceque celui-ci avait bu du sang. Les signes de vampirismes se révèlent trois jours après la mort, la peau reste rose et souple. Dans ce cas, ils enfonsent un pieu dans le coeur du cadavre jusqu’à la terre pour qu’il reste au sol pour toujours. Les habitants ont peur des vampires alors ils ont cherchés par tous les moyens des armes contre eux. L’ail vient du fait que les cadavres ont une forte odeur, d’où le remède. La comptesse Erzébeth Bathory. Au XVIème siècle en Hongrie, cette comptesse prenait plaisir à des jeunes filles vièrges pour prendre des bains de sang et parfois même le boire. Elle voulait reste belle et jeune. En 1611, elle est accusée d’avoir saignée des jeunes filles de la région. Elle en aurait tué dans les 300. Cela a duré dix ans où les jeunes filles étaient enchaînées, puis torturées avant d’être saignées. Elle a été arrêter grâce à des rumeurs qui circulaient car on avait remarqué beaucoup de disparitions. C’est son cousin, Gyorgy Thurso avec une armée de soldat qui a envahit le château et ont découvert des massacres tout frais. Des jeunes femmes sont découvertes enchaînées attendant leur tour. Elle n’a pas été tuée mais est restée enfermée jusqu’à sa mort dans un cachot. Le château, lui est maudit. On raconte qu’après sa mort (rumeurs ou légendes), que la comptesse serait devenue un vampire et continuerait ses horreurs. Toutefois, elle n’a pas été la seule à faire ceci… Les vampires psychiques:  Ils peuvent vider l’énergie en toutes parties de ses formes. Ils mettent en valeur ainsi leurs énergies mentales et physiques qui nourrit les vampires réguliers. Un vampire psychique peut l’être ou non mais ils peuvent vider les autres vampires de leurs force d’énergie, c’est à dire qu’un tel vampire peut vider une personne de ses émotions, pensées, force vitales-mentales-physiques. Un peu moins de la moitié de ces vampires le font sans le faire exprès. Tout le monde connaît ou connaitra une de ces personnes : vous vous sentez toujours las dès qu’ils partent. L’autre partie le fait volontairement soit par amour du jeu soit par développement depuissance. Les volontaires. Ils sentent ceux de leur race et les attaquent mentalement pour voir leur réaction. Aimant la chasse et les défits, ils essaient de bloquer le pouvoir de l’autre. On en arrive à une lutte mentale, grâce à leur énergie. Ils sont vus comme des négatifs. Une majorité des vampires psychiques blesse leur victimes par l’énergie et ne le savent même pas. Ils peuvent donc entrainer la mort d’un être faible, qui est malade. Pour eux, il y a une 2ème mort, celle du corps astral, après celle du physique. Il essaie donc de puiser ses forces dans l’énergie physique de ces combattants et peut ainsi survivre et rester immortel. Le corps astral de ces vampires, si son énergie est suffisante, il serait alors libéré et continuerait à aspirer l’énergie de différents corps astraux et physiques afin de gagner la vraie immortalité. Les involontaires. Ils vident leurs proche inconsciemment de toute leur énergie. Il est comme une exception, anormal. L’énergie qu’ils aspirent ce fait automatiquement par leur corps astral dans le but de survivre. Les vampires psychiques sont dominateurs, contrôleurs, charmeurs. Ils ne sont jamais seul et influencent les gens qui les entourent. Ils éprouvent des sentiments. Ils aiment la nuit. Le symbiotique. Ce sont des vampires qui prennent l’énergie spirituelle de l’électro-bio-produit chimique récupéré dans l’aura de la personne. Il est connu pour vider les énergies négatives. Ils sont donc considéré comme positifs car il le font intentionnellement. Les symbiotiques peuvent être des humains; et on s’en rend pas compte car la victime se sent plus en forme. En fait, les vampires psychiques et les symbiotiques ne sont pas de vrais vampires par il n’y a pas de sang en jeu. Une majorité de ces individus sont des êtres humains et sont donc des mortels.

Conclusion : De nos jours plus personne ne croit aux vampires, bien que des humains un peu vampire vivent en notre compagnie. L’épidémie de vampires du XVII est maintenant révolue. Toutefois, en 1970, à Londres, il ya eu une fameuse affaire de vampires qui a fait du bruit. Des gens affirmes avoir été attaqués près du cimetière Highgate par un vampire. Le public a très vite réagit et des gens ont pourchassé ce vampire mais il y a eu des affaires de justice… Les gens sont séduit par son pouvoir de force et d’immortalité. A cette époque, il y a encore beaucoup de surperstitions et on doute toujours sur son existence…

Source: http://lemondedebuffy.free.fr / http://www.ohmydollz.com

Amour me tue, et si je ne veux dire

Amour me tue, et si je ne veux dire Le plaisant mal que ce m’est de mourir : Tant j’ai grand peur, qu’on veuille secourir Le mal, par qui doucement je soupire.

Il est bien vrai, que ma langueur désire Qu’avec le temps je me puisse guérir : Mais je ne veux ma dame requérir Pour ma santé : tant me plaît mon martyre.

Tais-toi langueur je sens venir le jour, Que ma maîtresse, après si long séjour, Voyant le soin qui ronge ma pensée,

Toute une nuit, folâtrement m’ayant Entre ses bras, prodigue, ira payant Les intérêts de ma peine avancée.

Poèmes de Pierre de Ronsard (1524 – 1585)

Histoire de la guitare folk

La guitare folk trouve ses premières lettres de noblesse avec les bluesmen américain du début du 20ème siècle.

Dans les chansons du légendaire Robert Johnson, on reconnaît bien la sonorité métallique propre à la guitare folk.

Depuis, cette guitare est restée le meilleur compagnon de tous les bluesmen.

Elle a ensuite été utilisée par les beatniks dans les années 50’s puis par les hippies dans les années 60.

C’est sans doute avec Bob Dylan que la musique folk trouve sa meilleure incarnation.

Le son riche et chaud de la guitare folk en fait l’instrument favori de nombreux guitaristes…

http://www.youtube.com/watch?v=LUh7tWsl4lM&feature=share

                                                                                                                                           Source :   http://methode-de-guitare.com

La symphonie n° 9 en ré mineur – Ludwig van Beethoven

Ludwig van Beethoven – compositeur allemand né à Bonn le 16 ou le 17 décembre 1770 et mort à Vienne le 26 mars 1827.

La symphonie n° 9 en ré mineur – est une symphonie en quatre mouvements pour grand orchestre, solos et chœur mixte composée de la fin de1822 à février 1824, créée à Vienne le 7 mai 1824 et dédiée au roi Frédéric-Guillaume III de Prusse. Son finale (25 minutes environ) est aussi long que la Huitième symphonie tout entière ; il introduit des sections chantées sur l’Ode à la joie (Ode an die Freude) de Friedrich von Schiller.

http://www.youtube.com/watch?v=t3217H8JppI&feature=related

 

Ave Maria de Caccini

Giulio Caccini (né le 8 octobre 1551 à Tivoli et mort le 10 décembre 1618 à Florence) est un compositeur italien de la fin de laRenaissance et du début de la période baroque.

Le grand public connaît Caccini par une œuvre qui lui est pourtant totalement étrangère : ce que l’on nomme couramment L’Ave Maria de Caccini n’est en fait qu’un pastiche, composé en 1970, par Vladimir Vavilov et est fort éloigné du style musical de Caccini.

Elle a obtenu un immense succès, dans les pays baltes et en Russie d’abord, puis dans le reste du monde. L’œuvre a été également popularisée par Andrea Bocelli, Sumi Jo, Charlotte Church, les Petits chanteurs de Saint-Marc, Vyatcheslaf Kagan-Paley et Lesley Garrett. Cette pièce musicale célèbre devrait donc être intitulée, dans un souci d’exactitude : Ave Maria (dit de Caccini) par Vladimir Vavilov (1925-1973).

http://www.youtube.com/watch?v=SqBJFDbE2ZI&feature=related

A une femme
Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire, Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre, Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire, Pour un regard de vous ! Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes, Les anges, les démons courbés devant ma loi, Et le profond chaos aux entrailles fécondes, L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes, Pour un baiser de toi !